« L’éclairage urbain joue un rôle essentiel dans la sécurité, la mobilité et la qualité de vie. En contribuant à la rénovation du lac d’Anosy, nous réaffirmons notre volonté de participer activement à la transformation positive de notre Capitale, en alliant innovation, durabilité et responsabilité citoyenne », a déclaré Tahina Ramaromandray, du groupe Filatex. C’était lors de la signature d’une convention de partenariat y afférent avec le secrétaire d’Etat en charge des Nouvelles villes et de l’Habitat, Gérard Andriamanohisoa, hier à Anosy.
Une partie des lampadaires solaires seront installés devant le collège Saint-Michel et du côté d’Ambohitsorohitra. Pour l’autre partie située près du lac d’Anosy, notamment sur les 3 chemins menant à Antsahamanitra jusqu’à Ampefiloha, d’autres solutions seront identifiées. L’éclairage public existe déjà du côté du Tribunal et des bureaux administratifs, avec des poteaux espacés de 10 m de distance chacun. Dans tous les cas, des agents de la Police municipale viendront en renfort de la Police nationale pour s’assurer de la sécurisation de ces lampadaires, selon les informations recueillies. Le secrétaire d’Etat sollicite les citadins à signaler les cas de vol et de destruction des biens publics afin de maintenir une ville agréable, propre et sécurisée.
A travers ses engagements RSE (responsabilité sociétale des entreprises), le groupe Filatex participe activement à l’émergence de quartiers durables, visant à rehausser l’image urbaine de la Capitale et à offrir aux citoyens un cadre de vie sûr, agréable et responsable. Pour la ville des mille, des actions d’embellissement mises en œuvre par le groupe ont déjà eu lieu récemment, avec l’aménagement des jardins. L’éclairage solaire constitue une suite logique. D’ailleurs, le groupe a déjà alloué 370 lampadaires solaires, outre les 75 autres conçus pour l’embellissement du lac d’Anosy. Notons que la revalorisation de ce site a déjà commencé par quelques travaux. Le curage du lac, en partenariat avec l’Autorité pour la protection contre les inondations de la plaine d'Antananarivo (APIPA), et la clôture de son entourage, s’étalant sur environ 1,5 km, en font partie.
Patricia R.